28 février 2009

Some kind of happiness

On est samedi et tout va bien.

Récemment, deux court métrage m'ont vraiment donné un moral d'enfer.
Le premier, Signs est vraiment extraordinaire. Pas besoin de comprendre l'anglais pour l'apprécier.




Le second, Validation, est plus compliqué puisqu'entièrement en anglais. Néanmoins, si je l'ai compris, c'est bien qu'il ne doit pas être si difficile que ça.




De purs moment de bonheur.

27 février 2009

Jamais mieux servi que par moi-même

Ce billet rentre directement dans la catégorie des "blogs qui se nourrissent d'eux mêmes".

Je vous rassure, ce type d'article restera exceptionnel. Je pense néanmoins avoir terminé la première phase de construction de ce blog. Sur l'aspect purement formaliste en tous cas.
Bref, aujourd'hui vous avez carrément droit à un "j'ai un nouveau blog". Il s'agit donc d'un article totalement nombriliste.

Donc, je vais vous faire le tour du propriétaire.
Tout d'abord l'aspect général du blog. Comme je l'ai déjà souligné, ce blog est avant tout destiné à noter mes coups de cœur, mes coups de gueules, ou tout simplement mes délires d'internaute. C'est pourquoi, face à un tel mélange désorganisé dans sa substance, je tiens à conserver un esthétisme clair et relativement simple.
Vous visualisez un bloc note ? Et bien vous avez saisi le concept de ce blog.

Maintenant que vous avez saisi l'idée général, on peut passer à chaque recoin du blog.
Tout d'abord, je tiens pour l'instant à ne pas tagger les articles, ni à les organiser par catégories, toujours afin de conserver cet esprit de calepin virtuel.
J'ai réalisé la bannière dans la soirée.
J'en suis plutôt content, elle correspond plutôt bien à l'idée que je me fais du blog. Elle reste sobre, mais relativement chargée, avec des écrits qui emplissent l'espace. Un joli journal en somme.

J'ai tenu à placer la colonne latérale sur la gauche, comme une marge de vieux cahier de brouillon. Pour pouvoir y placer mes annotations, mes dessins, sous formes de différents widgets.

Concernant les widgets justement.
On commence donc en haut de la colonne latérale avec un encart "votre hôte". Il y résume quelques informations à mon sujet, ainsi qu'un lien vers mon premier article afin d'obtenir de plus amples renseignements.

Juste en dessous, vous avez accès au Best of musical du mois précédent, publié sur mon autre blog, Cosy Street (le prochain sera d'ailleurs édité dimanche).

On en arrive à mon flux RSS perso. je ferai prochainement un article plus en détail à son sujet, mais sachez qu'il résume mes dernières actions sur la toile. Que ce soit un nouveau tweet, un titre écouté, une photo ou une vidéo mise en ligne.

Puis ma blogroll, présentant un joli mélange de blogs d'amis ou de blogueur influents. Je ferai peut être des articles sur quelques uns d'entre eux. Ou pas ...

On continue avec divers badges vous guidant vers quelques uns de mes espaces en ligne. Des raccourcis donc, rien de bien passionnant pour le coup.

Et on termine avec les très classiques archives. Il restera ainsi un moyen pour tout le monde de retrouver un vieil article pour peu que chacun se souvienne approximativement de sa date de publication.

24 février 2009

Une fenêtre sur la High Tech

C'est effrayant. Vraiment, parfois ça me fait peur ...

"Gmail down !", "j'ai plus Gmail ...", "Chez moi Gmail remarche". Voilà une petite sélection des tweets lus ce matin. L'info a même été reprise cet après-midi chez 01net (deux fois).

Sauf que ...
Sauf qu'au moment où je lisais ça, j'étais en cours à la fac, et je serai prêt à parier que, là où tout le net s'émeut d'un tel bug, à peine 1 étudiant sur 10 présent dans ce même amphi en aura eu l'écho dans la semaine.

Plusieurs solutions donc.
La première, reprenant ce billet de chez TiBo, consiste à parfois prendre un peu de recul sur le buzz permanent.
Après tout, 1h30 de panne ça n'est rien. Comme j'ai pu lire, "Rapport à Gmail : en fait, le Web nous a juste désappris la patience". J'en partage totalement l'analyse. Une simple panne de Google aujourd'hui prend des allures de bombe chez certains, tandis que les autres n'en ont cure.
Qui est à blâmer ? Je l'ignore. Faut-il donner raison aux geeks-qui-veulent-tout-tout-de-suite ou aux autres ? Là non plus, je n'en sais rien.
Toujours est-il que l'effet buzz de la blogosphère pousse parfois à l'onanisme et à une émulation pas toujours très saine autour d'idées qui restent avant tout virtuelles. Tout cela pour faire monter la sauce, et avouons-le, pour faire entendre sa voix, pour une fois que l'on a quelque chose à dire.


Une autre solution consisterait à vulgariser ces concepts aux profanes. La plupart des internautes français n'utilisent pas Gmail mais Hotmail (rapport à windows live messenger). Ils ignorent tout de Twitter, LastFM, Netvibes, ou des flux RSS.
Cette fracture entre internautes classiques et bloggueurs n'est pas insurmontable. La preuve ? Facebook !
Considéré il y a encore un an et demi comme un truc de geeks boutonneux ou comme un réseau de rencontre pour nerds, le site est aujourd'hui le premier réseau social français, devant skyblog.

L'idée serait donc de faire passer la pilule plus simplement, à réexpliquer tous ces concepts. En quoi ils sont si simples, si pratiques et si intuitifs.
Je ne parle pas ici de Linux, Wordpress, ou d'autres outils plus ardus à configurer. Je voudrai simplement que certaines idées puissent passer du "truc de geeks" à des services vraiment populaires, dont on pourrait parler IRL sans se sentir nolife.
Parce que vous avez déjà tenté de parler de Twitter dans une conversation avec vos amis d'enfance ? Moi oui, et je me suis entendu ponctuer par un classique "non, laisse tomber ...", par manque de temps ou d'écoute.

C'est sûrement pour cela que j'aimerai travailler dans le journalisme, notamment high-tech, pour pouvoir réexpliquer tous ces concepts aux nouveaux venus dans le vaste monde de l'internet et des nouvelles technologies. Ressasser sans cesse, vulgariser le plus possible, afin de rendre ce vaste univers le plus intuitif possible.

Je pense donc commencer une petite série sur tous ces services qui nous facilitent la vie.
Parfois inutiles mais toujours indispensables, comme le consacre la formule.

22 février 2009

Coup d'mood











Je sais absolument pas pourquoi, mais je sens que je vais l'aimer cette nuit.

Les cours ont beau reprendre demain, je me sens bien. Pas nécessairement dans le sens heureux du terme, juste que j'arrive à me sentir je crois.

Ça faisait quelques semaines que ça ne m'était pas arrivés. De ressentir vraiment quelque chose d'autre que des sentiments négatifs.
En fait c'est même pire. Ça faisait quelques semaines que je ne sentais plus rien. Et là, j'ai envie de me sentir bien, de ne penser à rien.

Un bon café (ou bien plus, plus rationnellement), une nuit blanche, les oscars, mes quelques paragraphes de dissertation à fignoler.
Je vais l'apprécier celle-là.

J'espère ...

Les droits d'auteurs pour les nuls

En bon étudiant en droit, j'ai le blog de Maître Eolas dans mon lecteur de flux RSS (Netvibes en l'occurrence).
Récemment, celui-ci a commis une nouvelle perle dont lui seul a le secret. Un de ces "cours" qui me donnent envie de pratiquer la matière (alors que je me voue pourtant au journalisme).

"En l'espèce", il s'agit d'une explication sur les origines, les principes, les exceptions et les conséquences du droit de la propriété intellectuelle.
Ahah, je vous entends déjà : "Le droit de quoi ? Bwarf, ça a l'air chiant !"

Mais non, le droit de la propriété intellectuelle, pour vous, pauvres internautes lambdas, s'applique tous les jours.
Vous installez un nouveau logiciel sur votre bécane, vous vous inscrivez sur un nouveau service web, etc.
Ou même (et surtout), lorsque vous écoutez de la musique sur Deezer, téléchargez des titres sur Emule ou des vidéos via Bittorent, lorsque vous regardez des épisodes de série sur Megavideo.
Tout cela est soumis au droit de la propriété intellectuelle.


Prochainement, une loi sera votée par nos députés afin de sanctionner les internautes téléchargeant des œuvres sans en avoir obtenu le droit (par un simple accord ou contre redevance).
Cette sanction pourra aller jusqu'à la suspension d'un an de la ligne internet et madame la ministre de la communication et de la culture promet que la quasi-totalité des pirate (ton frère ou ta soeur compris) seront visés.
Je ne cautionne pas le piratage et serais pour ma part favorable à la création d'une licence globale, mais une sujet aussi concret que celui-ci mérite sans doute une explication de texte.


L'article est assez long et fastidieux (surtout pour les profanes de la matière) mais il en vaut vraiment la peine.

C'est par ICI.

21 février 2009

Pourquoi, comment ...

Ne vous détrompez pas, j'aime toujours énormément mon autre blog, Cosy Street.
Je continuerai à l'alimenter quotidiennement, tant que j'aurai la matière pour ce faire.

Pourquoi faire un autre blog alors ? Pour quelques raisons relativement simples et innocentes qui me poussent à prendre le clavier.
D'abord, Cosy Street est un bon blog (un jour j'apprendrai à jouer le modeste), mais sa forme ne me laisse guère de choix pour m'exprimer librement.
Bien sûr, il y a les articles "making of", qui me permettent plus ou moins de liberté, mais j'essaie de m'y cantonner à la vie du blog en elle même.

Parce qu'en dehors de la musique, j'ai pas mal d'autres passions, et mes "autobiographies non-autorisée" (franchement, pour un publicitaire, il aurait pu trouver mieux) ne le soulignent que trop peu.
J'aime les nouvelles technologies, je m'en délecte. Ca a parfois même tendance à devenir de la masturbation informative, mais j'aime ça.
Il en va de même pour l'actualité, la politique ou les médias.

Et puis (étrangement), j'ai une vie privée, avec des coups de coeurs et des coups de gueule ...

Et très sincérement, tous ces sujets n'auraient pas leur place dans un blog musical.

J'en viens donc au pourquoi du comment de ce blog.
Contrairement à Cosystreet, je n'y posterai pas à un rythme régulier (aucun intérêt sinon). J'essaierai néanmoins de ne pas trop le délaisser.
De plus, à l'image de cet article-ci, les posts ne seront pas formatés, avec un image pour chacun, forcément en noir et blanc, etc.

Un vrai blog perso, en somme, avec tous les défauts du genre, mais peut-être aussi les qualités.

Concernant la mise an page, j'ai essayé de faire quelque chose de relativement épurée, contrairement à Cosystreet qui est bien plus chargée. La page est grande, espacée, lumineuse. N'hésitez pas à y laisser votre marque afin que l'on fasse plus amples connaissances.


Sur ce, je vous laisse vaquer à vos occupations ...
Le blog sera bien entendu encore en chantier pour quelques temps, histoire de me faire la main sur les options proposées afin de rendre le lieu encore et toujours plus chaleureux.


Enjoy !

20 février 2009

Griffoooo by Griffon














Né le 31 août 1988 dans le Berry, Griffoooo (Geoffroy Husson à l'état civil, IRL quoi ...), est un jeune blogueur passionné.

Passionné de tout. Un vrai passionné. Avec des passions éphémères, qui s'éteignent et se rallument toujours plus fort. D'autres naissent tandis que certaines sommeillent.

Passionné par internet, l'informatique et les nouvelles technologies.
Passionné par le cinéma, la presse et les médias.
Passionné par le café et les fast foods.
Passionné par l'exercice du roller ou du vélo.
Et par beaucoup d'autres hobbies ...
Mais de façon omniprésente, discontinue et éternelle (ouais ouais, tout ça à la fois), il est surtout passionné par la musique et tient un blog quotidien sur ce sujet.

Comme tout blogueur qui se respecte, Griffoooo est sur le web, sur différents réseaux sociaux. Sur Facebook, oui, mais aussi sur Youtube, Dailymotion, Twitter, Last.fm, Jiwa et Flickr. Et a une adresse chez le grand G : griffoooo@gmail.com

Dans la vie de tous les jours, Griffoooo est étudiant en droit à Créteil, dans le 94. Il aspire à devenir journaliste, mais le domaine reste toutefois assez flou (médias, nouvelles technologies ou politique ..?).
Il joue également de la basse dans un groupe de rock progressif : Amearth.

Mais comme Griffoooo n'aime pas parler de lui (et encore moins à la 3e personne), Griffon va s'arrêter là.